Accueil > Pédagogie > Méthode Addie et design thinking pour le eLearning > Méthode Addie : le développement
samedi 10 mai 2025
Méthode Addie pour le Elearning
Méthode Addie : le développement
L’information, les médias et l’accessibilité
Pour un contenu de formation, l’information est évidemment primordiale, mais dans les différents médias présentant celle-ci, le texte prend une place capitale puis qu’il est, non seulement le vecteur le plus précis pour l’information, mais aussi celui permettant la plus grande accessibilité. Le travaille de préparation des médias et de la rédaction est donc d’une grande importance pour la qualité de vos modules eLearning, mais le texte, que celui-ci soit écrit, lu (audios) ou joué (vidéo), ou encore qu’il serve à l’accessibilité (texte alternatif aux images, description de lien, transcription vidéo...) est le média le plus important.
Réalisation : l’information textuelle
C’est par là que commence la rédaction, la production de vos modules... et je parle bien de production, car cela a un coût et que celui-ci doit entrer dans votre budget si vous devez faire appel à des intervenant·es pour cette rédaction. Remarquez aussi que dans le titre, il y a le mot information qui prend sur les outils Web une saveur supplémentaire à l’impression :
En Web, l’information peut se présenter dans un « plan vertical », en superposition. Il n’y a pas que la largeur et la hauteur du support qui jouent, mais aussi la profondeur. C’est ce que permet l’interactivité en donnant la possibilité de faire apparaitre des informations par-dessus d’autres (fenêtre interne, boite de dialogue, apparition « d’étiquettes »...) sans compter en deux dimensions, les onglets et blocs dépliables.
La hiérarchisation de l’information prend donc un aspect supplémentaire à ce qu’elle connait lors de la rédaction (mode sémantique) : le mode d’accès.
L’écriture
Cela dit, comment écrire vos textes ? Si vous avez une ligne et/ou une charte éditoriale, appuyez-vous dessus.
L’écriture consiste à traiter de l’information, à la hiérarchiser et à la rendre lisible et compréhensible. Il y a plusieurs écoles, et plus que cela, il y a plusieurs natures de personnes et il est présomptueux en parlant d’écriture de dire « faites cela et ça marchera ». Pour simplifier le propos, je retiendrais ici la distinction qui est faite en littérature... même si plein de personnes sont quelque part entre les deux.
- Les jardinier·ères : Iels se lancent tout de suite dans la rédaction, ni forcément dans un ordre logique, ni forcément de façon définitive ou entière, mais ils et elles rédigent. Le plus souvent, iels ont une structure globale en tête, mais si celle-ci est trop présente, cela nuit à leurs capacités rédactionnelles.
- Les architectes : Iels suivent, pour chaque partie, scrupuleusement une technique de mise en place de catégorie de travaux, de structuration de chaque texte. Puis iels prennent des notes, font des recherches, compilent et finissent par rédiger.
- Ce que font les deux :
Éviter une continuité absolue (partir du début et finir par la fin). Chacun des deux types rédige de façon discontinue en travaillant en parallèle sur les différentes parties... c’est la nature de ces parties qui peut changer.
Corriger les textes selon un véritable protocole correctionnel : première lecture des textes, orthographe et grammaire et proposition de correction. À ce stade de la production, il est nécessaire de valider le texte pour son contenu. Néanmoins, une seconde lecture sera nécessaire lors de l’intégration du texte dans le support définitif.
Pensez à introduire de la titraille dans vos textes. Les titres et leurs différents niveaux permettent de visualiser le cheminement de pensée, de structurer l’information et de lui donner de la lisibilité.
Appliquer une feuille de style en définissant les paragraphes : standard (texte courant), titre (principal et de niveaux 1 à 3 minimum, 1 à 6 maximum), vos exergues et paragraphes particuliers — accroche (résumé), citation, mise en avant d’une information, d’un encadré avec titre, référence, légende... Cela permettra d’appliquer une homogénéité typographique et structurelle à l’ensemble de vos modules.
La rédaction est un métier à part entière. Si vous ne le pratiquez pas, vous pouvez apprendre, mais on n’apprend pas cela en 30 min d’eLearning, ni même en une journée de cours en présentiel. C’est un apprentissage long qui mérite d’être exploré, mais n’hésitez pas à faire appel à des professionnels.
En attendant d’être un ou une rédactrice confirmée, si j’ai un conseil à vous donner, c’est d’essayer de faire relire vos textes à une ou deux (et plus si possible) personnes, quelles qu’elles soient, et recueillez leur appréciation avec ouverture d’esprit. Ce sera le meilleur moyen de progresser.
La rédaction du contenu est un travail considérable et n’oubliez pas les textes liés à l’accessibilité : descriptif d’images, descriptifs des liens et aides aux éléments d’interactivités, labels de formulaire, transcription vidéo pour les aveugles (et là,c’est encore mieux si c’est sonore), sous-titre...
Réalisation : images, sons et vidéos
Son et vidéo
Ce sont des médias qui coutent cher si vous voulez avoir une qualité de vos produits... surtout la vidéo. Dans les deux cas, il vous faut :
- Du bon matériel (la vidéo incluant le matériel sonore) et des professionnels capables de les exploiter.
- Créer un pitch et le storyboarder.
- Prévoir les séances de captation avec le personnel nécessaire qui peut comprendre un réalisateur, des comédiennes, des opérateurs et pour la vidéo, maquilleurs, décoratrices...
- Prévoir une postproduction (montage, intégration d’effets ou d’éléments additionnels...)
- Les versions alternatives : textuel pour les malentendants et les mal voyants. C’est une question d’accessibilité à l’information.
Soyez très attentif à la budgétisation de la vidéo et réservez-là à ce qui est réellement nécessaire.
Faites des vidéos courtes (autour de 3 min) et des podcasts de 10 à 15 minutes maximum.
Enfin, renseignez-vous sur les bonnes extensions de vos fichiers en fonction de vos outils d’intégration. Si globalement le MP4 est bien toléré, certains outils vont préférer le AVI et pour l’audio le MP3 semble universel.
Vous pouvez aussi créer une chaine une "chaîne vidéo" et intégrer vos vidéo dans votre LMS par le biais d’iframe de partage.
Préparation des vidéos
Vos vidéos vont vous demander d’autres éléments que les fichiers de captations : images, sons (musiques, bruitage, voix off), élément 3D, éléments vectoriels... veillez à les préparer en amont de votre période de montage afin de ne pas être interrompu dans votre processus créatif. En cela, le story board doit vous permettre de bien visualiser l’ensemble des médias qui vous seront nécessaires.
Images
Organisation
Brasser des images n’est pas simple. Lors de votre rédaction, vous avez normalement indiqué si vous vouliez une image, et ce qu’elle doit représenter. Vous allez chercher et trouver des images, les classer, les référencer pour utilisation ultérieure...
Vous devez respecter un certain nombre de règles dans la gestion de vos images :
- Le respect des droits d’auteur·trices (voir le post-scriptum sur les licences creative common)
- Le respect des normes de types et de formats
- Un protocole strict de gestion des fichiers comportant :
- Un dossier réservé aux images natives, c’est-à-dire à toutes les images libres de droits ou achetées, photographiées par vos soins et/ou ceux de votre équipe.
Vous avez ensuite plusieurs possibilités d’organisation, néanmoins vous devez avoir : - Un dossier pour les images vectorielles comportant un sous-dossier SVG (image vectorielle pour le Web)
- Un dossier pour les images composées (images sous Gimp, Photoshop, Krita...) qui doit garder tous ses calques de travail. On doit pouvoir reprendre la composition à tout moment.
- Un dossier pour les exportations destinées à l’édition avec des sous-dossiers par type de fichier (JPG, PNG, GIF, TIFF...) ou par utilisation (Web/print).
- Un dossier réservé aux images natives, c’est-à-dire à toutes les images libres de droits ou achetées, photographiées par vos soins et/ou ceux de votre équipe.
Soyez rigoureux·euse dans votre gestion des images et soyez toujours en mesure de faire référence à l’image initiale telle qu’elle était lorsque vous l’avez acquise, et aux images de montages dans leur composition intégrale de calques.
Les formats
Nature des images
- Les images dites bitmap : composées de pixels, elles sont définies par leur largeur, leur longueur et le nombre de pixels par unité de mesure (la résolution). Cette résolution est pour les écrans de 72 dpi et pour l’impression de qualité à 300 dpi.
Formats : PNG, GIF, JPG, PSD, TIFF... - Les images dites vectorielles : composée d’éléments mathématiques (équations, matrices, objets...) elles s’adaptent à toutes les tailles et n’ont pas de résolution à proprement parler, celle-ci s’adaptant au support de diffusion (print ou Web).
Formats : AI, SVG, EPS...
À noter qu’en Web, il faut le plus possible utiliser des images à leur taille d’affichage et qu’il est important d’optimiser ces images pour en limiter le poids [1].
Ne mettez jamais d’images « pour décorer ». Une image a des fonctions illustratives et émotionnelles qui permettent de faciliter la mémorisation.
Icônes et signalétique
Dans les images, les icônes, représentations de concepts d’objets, de fonctionnalité, de personne ou de situation et peuvent aussi vous servir dans l’identification de thématiques, mais aussi en tant qu’outil de signalétique et d’interactivité. Il faut que vos icônes soient :
- Fournies si possible en vectorielles (SVG) ET bitmap (PNG)
- Homogène graphiquement (toutes avec ou sans fond, même bord...)
- Que chaque icône ait son utilité et chaque signalétique ou fonctionnalité son icône : une icône doit être attribuée à une seule fonctionnalité. N’hésitez pas à vous faire un tableau.
L’infographie
L’infographie est une image d’un type particulier. Elle est souvent composée de plusieurs éléments et met en relation du texte et des images. Elles peuvent servir tout autant à représenter des processus que des statistiques, des contextes, des représentations d’évolution... L’intérêt dans le Web est de pouvoir les rendre interactives et vous en servir comme base pour l’affichage d’informations par interactivité en impliquant l’internaute à agir sur l’interface.
Réalisation : navigation, interactivité et mise en page
Vous disposer avec les éléments d’interactivité et le système de navigation, d’outils propices à la participation des apprenant·es dans la collecte de connaissances et le chemin d’apprentissage.
Pour comprendre et utiliser les possibilités des outils de création de contenus interactifs, il vous faut prendre en compte :
- La navigation et le chemin utilisateur : les chemins possibles et la façon de les utiliser ;
- La mise en page : c’est-à-dire la construction du contenu en termes de hiérarchisation de l’information et de lisibilité. La mise en page Web possède des particularités qu’il vous faudra prendre en compte et qui dépendent du type de format : page Web indépendante et/ou intégration d’un élément Web externe dans une page du LMS. Dans tous les cas la mise en page doit respecter :
- Une utilisation des blancs tournants (gestion des espaces entre les blocs d’informations) ;
- Une cohérence graphique passant par une charte graphique et une feuille de style dédiée ;
- Les règles orthotypographiques.
- Une bonne utilisation des médias : prise en compte des tailles, des formats standard du Web...
- Une bonne définition de vos éléments d’interactivité : signalétique claire des déclencheurs, information à l’internaute, bonne utilisation des éléments de formulaires, bonne utilisation des fonctionnalités d’affichage/masquage d’éléments et de leur nature (overlay, étiquette, apparition d’éléments masqués...).
Il vous faut comprendre les outils dont vous disposez, c’est-à-dire les fonctionnalités et leur déclencheur (clic, cliquer-glisser, roll-over, pression longue...).
Les éléments d’interactivité permettent de faire davantage participer les personnes dans leur cheminement vers une connaissance ou une pratique. Cela nécessite une conception du contenu un peu différente, mais l’interactivité, cela permet à chacun·e de contrôler en permanence l’état de sa situation pédagogique.
Maîtriser une plateforme de création de contenus interactifs sera toujours moins long et moins couteux que de maîtriser l’ensemble des technicités relatives à l’audiovisuel en général et la vidéo en particulier.
Attention à l’alignement pédagogique.
La plupart des automatisations permettent de mesurer une connaissance, ce qui est un premier pas vers l’automatisation d’une tâche ; au mieux la compréhension de cette connaissance, ce qui est un premier par vers la compétence qu’elle permet. Mais l’évaluation d’une compétence nécessite l’analyse complexe d’une action et de son environnement et donc l’intervention d’une personne... peut-être un jour celle d’une IA (si vous avez les moyens).
Validation : les différents niveaux
Lors de la mise en place de votre formation en eLearning, il peut y avoir autant de validation que d’étapes intermédiaires à chacune des parties de votre projet.
Si nous reprenons notre schéma ADDIE, chaque item de cette liste va nécessiter des validations.
- Du besoin (identification du besoin)
- Du public (Identification du besoin)
- Du marché du travail, de la concurrence (analyse comparative)
- Du possible (ressources humaines et matérielles, budget, délais...)
Design (conception) - Objectifs pédagogiques
- Achitecture de la formation
- Forme et format de la formation
Développement (Réalisations) - Réalisation : l’information textuelle
- Réalisation : images, sons et vidéos
- Réalisation : navigation et interactivité
- Validation : les niveaux de validation
Implémentation (Diffusion) - Mise en œuvre (LMS)
- Conditions d’accès et diffusion
Évaluation (Évaluation) - Les différentes étapes d’évaluations
- L’analyse de sa pratique
L’analyse du marché du travail est une précision sur le public possible, il n’y a pas à proprement de validation de cette analyse.
L’analyse des ressources est à valider sur tous ces aspects.
Toutes les étapes du design sont à valider. N’hésitez pas si c’est possible à valider les objectifs pédagogiques auprès de votre public et/ou de votre commanditaire.
Lors des réalisations, chacune d’elles peut avoir plusieurs étapes de validation.
Attention : les textes risquent de devoir être retravaillés selon leur taille et l’espace qui leur est attribué dans la mise en page. En ce cas, il faudra, une fois les textes définitifs intégrés, les corriger et valider une dernière fois.
La mise en œuvre dans le LMS nécessite une validation de la bonne intégration des parcours. Il peut arriver qu’il soit nécessaire de changer des modules selon les possibilités de communication entre les données des éléments internes et externes au LMS. Soyez vigilant·es à la compatibilité de vos outils.
Enfin, vos évaluations, une fois analysées, définiront des stratégies d’adaptation et de correction qui devront être validées pour être mises en place.
Implémentation et suivi
Il est nécessaire de prévoir plusieurs actions pour que votre formation soit accessible en ligne et qu’elle soit découverte.
La découvrabilité de votre formation
Exister sur le Web ne signifie pas que l’on va être vu. Il vous faut donc communiquer sur l’existence de votre formation si celle-ci a été faite selon une étude de marché et non pour une commande. Ce sont des actions de communication et de marketing et de référencement Web et je vous invite, si vous devez vous en occuper, à suivre une formation sur le sujet. Le référencement est un art aléatoire, le marketing une vocation et la communication un réel et large savoir-faire.
De plus, il est possible que vous utilisiez un autre logiciel en ligne, un autre outil que votre LMS pour éditer votre catalogue de formation, et ce n’est pas votre parcours de formation qui doit être référencé sur le Web, mais votre catalogue. C’est un travail de webmastering, de référencement et de communication et de community management qui nécessite aussi des compétences métier particulières. Aussi prêter plus d’attention au choix du LMS pour ses capacités de gestion des formations et de leurs acteur·trices que pour ses fonctionnalités de catalogue qui peut être géré par un autre outil.
Choisir son LMS
Le LMS est l’outil qui va vous permettre de diffuser votre formation en tant que parcours fonctionnel et d’en suivre tout ou partie des informations.
Le choix du LMS est conduit par :
- Des raisons budgétaires
- Des fonctionnalités
- Les interactions et passerelles possibles avec d’autres outils Web de création de contenu, de gestion commerciale, de comptabilité et de gestion administrative des apprenants, formatrices et autres intervenant·es.
- L’environnement informatique global de l’entreprise.
Des logiciels en ligne : comme Moodle, EdSquare, ou tout un tas d’autres dont parle l’article https://blog.hubspot.fr/marketing/plateformes-formation-en-ligne, permettent tout ou partie des fonctionnalités et du traitement des informations dont vous avez besoin.
En règle général, le choix du LMS est accompagné du responsable informatique et de la direction, et n’est que rarement définit par le seul ingénieur pédagogique.
Données observables
Pour le suivi de vos formations, il est nécessaire que vous puissiez en observer le cours et puissiez récupérer des indicateurs cohérents avec les critères de qualités de la pédagogie et de la formation professionnelle.
Parmi ces données, veuillez à avoir accès :
- Au nombre d’inscrit·es
- À l’avancée de chaque personne pour chaque parcours
- Au suivi des évaluations formatives et des prérequis
- Au taux d’abandon
Et outre la possibilité de faire des interventions asynchrones, ou audiovisuelles live ou stream, veillez à pouvoir mettre en place des échanges simples de fichiers, si possible avec historicité et de pouvoir attacher à chacun une correction et un retour personnalisé.
Veillez aussi à pouvoir proposer des évaluations à chaud et à froid des modules, tout du moins des formations auprès des apprenants et des formatrices. Il est important d’avoir les deux points de vue.
C’est l’analyse de vos formations qui vous permettra de les faire évoluer. Ce n’est pas qu’une question de succès public. Votre formation peut être peu fréquentée et très bonne.
La fréquentation est un problème marketing, ce qui est intéressant pour vous c’est le taux (le niveau) de satisfaction de votre public. Bien entendu, plus votre formation est fréquentée, plus qualitatif sera le retour, mais l’important pédagogique n’est pas l’important commercial, et pour vous, c’est la réussite de l’acquisition des compétences visées qui doit être le pilier de votre analyse.
Post-scriptum
Licence créative commun
Les licences Creative Commons sont des modèles d’accords. Elles sont utilisées pour donner au public le droit d’utiliser une œuvre protégée par des droits d’auteur. Moins il y a de restrictions dans une licence, plus il est facile de distribuer et d’utiliser l’œuvre protégée.
Pour bien comprendre comment cela fonctionne :
- https://creativecommons.org/share-your-work/cclicenses/
- https://coop-ist.cirad.fr/etre-auteur/utiliser-les-licences-creative-commons/4-les-6-licences-cc
- https://www.legalstart.fr/fiches-pratiques/proteger-une-creation/creative-commons/
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Licence_Creative_Commons
Demande de droit d’utilisation
Il peut arriver que vous trouviez le média qui est parfaitement adapté à votre besoin sur le Web. N’hésitez pas à entrer en contact avec l’administrateur du site ou à défaut, en utilisant un formulaire contact présent sur le site, ou une adresse email fournie dans les mentions légales, pour demander le droit d’utilisation du média. Indiquez l’URL de la page, celle de l’image, de la vidéo ou du son que vous voulez exploiter ainsi que le cadre de l’utilisation que vous voulez en faire. Garder précieusement la réponse. Assurez-vous néanmoins que la personne qui vous répond possède le droit... de vous accorder le droit d’utilisation.
[1] Pour en savoir plus sur l’optimisation d’images pour le Web : https://kinsta.com/fr/blog/optimiser-les-images-pour-le-web/.